• Twilight - RPG • After the end & new beginning
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 Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "

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Rebecca G. Ellington

Rebecca G. Ellington

Féminin ● Messages : 14
● Date de Naissance : 28/06/1994
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MessageSujet: Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "   Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Icon_minitimeSam 2 Jan - 22:42

• Ton Personnage •


    Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Ra3hxf
    FEAT. TAYLOR MOMSEN
      Nom;; Ellington - un vieux nom de bonne famille anglaise, nom hérité de cette mère baffouée. Pour avoir fait quelques infructueuses recherches, elle conclut qu'elle est leur dernière représentante.
      Prénom(s);; Rebecca Gabrielle - deux noms simples pour une fille qui leur correspondait jadis. Deux noms hérités pour le premier de sa grand-mère et pour le second de la femme de son oncle. Deux noms qu'elle a également conservé après son... changement.
      Age Réel;; 159 ans.
      Age physique;; 16-17 ans approximativement.
      Date de Naissance;; Elle vit le jour au matin du 15 juin 1850.
      Lieu de Naissance;; Dans un refuge pour femmes enceintes de Londres.
      Nationalité;; Anglo-américaine - sa mère était une anglaise de bonne famille engrossée par un soldat. Sa mère étant morte et son père niant tout liens avec elle, ce fut son oncle qui, des États-Unis, commanda son envoi dans ce couvent.
      Dons Spéciaux;; Rebecca possède le pouvoir de plonger toute personne se trouvant à distance minimum dans une immobilité partielle ou complète, le tout durant quelques minutes pour les plus résistants, quelques heures pour les êtres faibles, comme les rats ou... les humains.
      Régime;; Sanguinaire - quand Dieu nous dote de ces si puissants pouvoirs, pourquoi ne pas els utiliser ? C'est la philosophie.
      Race;; Vampire, et elle n'est pas peu fière de l'être, ou plutôt de l'être devenue.



• Mon Physique & Mon Caractère •


      Caractère;; On dit que l'âme peut être brisée, détruite, brûlée, incendiée, écorchée vive, mais que jamais elle ne peut disparaître. Cependant, Rebecca entendit très souvent les religieuses, cachées dans les cuisines, répétées que, comme elle avait été conçue en dehors des liens du mariage, elle n'avait pas d'âme. Elle était une créature du démon. Et c'est bien ce qu'elle est devenue, suivant un triste ironie du sort. Rebecca a toujours été ce genre de personne qui aimaient plu ou moins être au centre de l'attention, laissant les autres s'extasier sur sa petite personne tandis que son esprit vagabondait au dehors. Curieuse, elle aimait à lire de ces romans que les religieuses faisaient venir pour elles à chaque année, pour ces filles du couvent qui ne rentraient pas chez elle, à Noël. Elle aimait apprendre de nouvelles choses, que ce soit sur les gens ou sur les choses - et c'est d'ailleurs ce même intérêt qu'elle avait pour les gens qui la rendit si populaire. Elle aimait à les entendre parler d'eux-mêmes sans jamais se confier, elle, cependant. Comme un grand vase plein des sentiment d'autrui, un grand vase iniébranlable et décoré des plus belles parures. Les autres filles disaient qu'elle était une très bonne amie, la meilleure d'entres elles, sans doute. Courageuse, un peu trop aventureuse, comme cette fois qui les avaient toutes tuées, la fois du lac... Paséiste et nostalgique, peut-être un peu, car pas une journée ne passe depuis sa transformation sans qu'elle ne se remémore les tristes évènements du lac.
      Physique;; Rebecca a toujours été une de ces nombreuses petites bourgeoises anglaises qui pouvaient s'estimer heureuse de ne pas s'être fait forcer par un malade au détour d'un marché - et il n'y a là aucune exgération. Nombreux sont les récits du genre que lisaient la jeune fille tout en brossant ses merveilleuses et ô combien magnifiques boucles blondes. Ses cheveux étaient en effet, de sa vie d'humaine, sa principale préoccupation, avec son teint pâle maladif qui incitait les religieuses de son couvent d'orphelines à la gaver encore plus que les autres pensionnaires. Le turquoise de ses yeux faisaient s'extasier ses amies, qui le comparaient au bleu de ce lac bordant le pensionnat. Elle était grande sans trop l'être, une merveille pour les couturières qui s'extasiaient sur sa taille de guêpe et ses hanches fines, tout en lui confectionnant de magnifiques robes de lainage grisonnant... magnifique. Elle semblait si frêle, si fragile avec son cou gracile et son nez droit que les surveillantes gardaient toujours un oeil sur elle quand elles sortaient faire des promenades, question qu'elle ne se fasse pas écraser sous un carrosse. Et elle fut ainsi l'objet des jalousies et des convoitises jusqu'à l'âge de 16 ans, âge où elle fut transformée. Alors son teint devant encore plus blanc, ses cheveux devinrent plus brillants, en sont visage apparut la tâche carmin sanglant de ses lèvres pulpeuses, qui allait de paire avec le rouge de ses yeux. De frêle elle devint agile, de simplement belle elle devint magnifique. De vivante elle devint morte.



• Moi, derrière l'écran •


    Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " 36592812
      Surnoms;; Bliss, Rainglasses
      Age;; 15 ans.
      Sexe;; Fifilleuh ^^
      Comment as-tu connu le forum ?;; Eh bien j'étais à la recherche d'un fofo bien ( c'est que c'est devenu dur à trouver Rolling Eyes ) et je suis tombée sur le votre.
      Il te plait ?;; Un miracle de la nature. J'ai accroché à l'intrigue, et les membres ont l'air actif, et il est super bien organisé.
      Code du règlement;;
      Spoiler:



Dernière édition par Rebecca G. Ellington le Dim 3 Jan - 0:16, édité 4 fois
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Rebecca G. Ellington

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MessageSujet: Re: Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "   Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Icon_minitimeSam 2 Jan - 22:42

• Mon Histoire •


      Avant ma Transformation;; " Ma jeune soeur Amelia, une enfant élevée dans les bonnes moeurs tout comme moi, avait à peine 16 ans quand elle fit la connaissance de Matthew, ce jeune soldat sortit d'ont ne sait où qui allait venir briser l'équilibre précaire dans lequel se trouvait déjà ma famille. Uniques enfants d'un couple de richards de la noblesse, Amelia et moi étions destinés à un brillant avenir. Moi, envoyé en Arméique pour y faire fleurir les affaires de mon père, et elle, l'enfant chérie restée au foyer pour y épouser un homme riche, un lord. Lady Amelia, l'appelaient nos domestiques. Ce garçon, Matthew, servait dans l'armée anglaise et ses parents tenaient la boulangerie du coin, il n'était pas recommandable. Pourtant, elle continua sa relation avec lui. Durant un an ou deux, je ne sais pas, elle le fréquenta. Mon père tomba gravemment malade et fut quasiment enfermé dans ses appartements. Il me dégoûte d'imaginer qu'au moment de sa mère, Amelia était avec Matthew. Ma mère, sous le choc, sombra dans une folie douce. J'héritai des titres de mon père. Quand Amelia tomba enceinte, je conseillai à ma mère de la mettre dehors, pour notre réputation et notre honneur à tous. Ma soeur donna naissance à cette abomination, cette enfant renié par Dieu, dans un refuge, et elle y mourut quelques jours plus tard. Matthew, cet homme horrible, nia tout lien avec ma soeur et l'enfant. La petite aurait sans doute été placé dans un de ces foyers miteux si je n'étais pas intervenu. Et la petite, Rebecca, comme ma mère, Gabrielle, comme ma femme, fit la grande traversée. Ce fut un miracle si elle survécut. Ma femme ayant déjà donné naissance à quatre enfants fragiles de santé, je ne puis prendre ma nièce en charge et vous la confie donc. Puisse-t-elle être repentie des pêchés de sa mère. "

      Cette lettre, la jeune fille la relue des centaines et des centaines de fois. Elle la relisait tandis que les domestiques lui brossaient les cheveux, cousaient ses robes et ses bonnets. Le grand pensionnat aux murs de marbre blanc dans lequel cet oncle qu'elle n'avait jamais vu l'avait envoyée ressemblait à un véritabkle palais, comme elle avait vu dans les livres illustrés. Il contenait l;es quelques " orphelines " des familles riches. Une dizaine, en tout, pour une dizaine de soeurs et une dizaine de domestiques. Les filles dormaient toutes dans un immenses dortoirs aux lits à baldaquins somptueux. C'était une véritable prison de soie et d'argent. Parfois, sa tante Gabrielle, une femme occupée qui avait perdu cinq de ses six enfants en bas âge, lui envoyait parfois des rubans brodés ou de magnifiques plumes d'oiseaux exotiques. Tout ce que Rebecca savait, c'était que son oncle avait réussit. Elle ne l'aimait pas. Non pas qu'il soit méchant, simplement, elle avait le sentiment qu'il avait abandonné sa mère au moment le plus crucial de toute son existence. Et de sa grand-mère, Rebecca la première, elle ne tenait qu'un carré de soie jaune dans lequel elle avait été enveloppée lors de son envoie à New York. New York était selon elle une ville puante et dérangée, elle n'aimait pas cet endroit. Mais heureusement, durant son enfance, qu'elle passa avec ses meilleures amies, les autres pensionnaires, elle ne mit jamais les pieds au dehors de la vaste cour pavée du pensionnat, là-où elle allait faire des promenades avec des ombrelles de dentelle. Elle savait qu'il y avait un lac de l'autre côté des hauts murs et des fontaines, mais c'était comme s'il n'existait pas. Les filles prenaient tout les matins et tout les soirs des bains dans de grandes bassines d'eau parfumée et portait des corsets de dentelle et de fil de fer. C'était comme si elles étaient réellement des bourgeoises. Et non des enfants illégitimes confinés aux oubliettes.
      Quand Rebecca avait 5 ans, elle jouait avec les autres petites. Elles étaient plusieurs, à ce moment-là, une bonne dizaine. Et pusi les Spartz avait ramenée les jumelles quand leur situation financière s'était arrangée, Meredith s'était mariée à un cousin éloignée, Anna était tombée malade et avait dut rentrer chez elle, Jenny avait attein l'âge de devenir institutrice. Cinq. Cinq petites merveilles qui avaient la bougeottes, volaient des pommes dans les cuisines et se faisaient la courte échelle dans la cour pour essayer d'apercevoir ce lac hypothétique. Et pusi un jour, Rebecca, le cerveau de toute l'opération, avait échaffauder un plan. Elles étaient les cinq " grandes ", et les religieuses étaient débordées avec les " petites ". Et c'est donc à l'âge de 16 ans que Rebecca vit une étendue d'eau pour la première fois, en dehors, bien sûr, du bain. Le lac rejoignait la rivière, et la rivière l'océan. C'était le monde. Le vrai monde. Tard dans la nuit, les filles étaient passées devant la grande Berenice, enjambée le muret du jardin, même que Rebecca s'était écorchée la jambe et avait déchiré l'ourlet de sa robe. Elles avaient dénichée une barque chancelante et une ou deux rames, et ainsi avait commencée leur aventure. Rebecca se souvenait de tout. Mary était réticente, elle avait peur de l'eau, et Sophia l'en avait aspergée en riant. Et Constance, qui possédait une fabuleuse chevelure rousse, avait sauté de la barque pour aller se baigner, et elle avait déchirée sa jupe. Et puis elles étaient remontées dans la barque. Et c'est alors que les choes avaient chavirer, sans mauvais jeu de mots. Mary et Helena, une autre fille, se disputaient sur la direction à prendre pour regagner le pensionnat. Une indiquait gauche, l'autre droite. Et elles avaient finalement opté pour droite. Dans la nuit noire - la lanterne qu'avait emmené Mary s'étant éteinte quand Sophia lui avait jeté de l'eau - elles avaient avancé, guidées par le clapotis régulier de l'eau, qui était devenu de plus en plus violent. Et rusquement, elles avaient débouché dans les rapides. Constance avait hurlé, elle avait essayé de manoeuvré pour changer de direction. Mais la barque avait avancé, et avancé encore, jusqu'à se briser contre les rochers. Mary était tombée dans l'eau et n'était jamais remontée. Helena s'était cognée la tête contre un roche, s'était cassé le bras, et son corps disloqué avait suivit le cour de l'eau. Sophia avait saisit la main de Rebecca, et ensemble elles avaient encaissé la première vaue, et la seconde, et la troisième, luttant pour garder la tête hors de l'eau. Constance s'était accrochée à la barque, mais la barque avait fendue et, frigorifiée, elle s'était laissée coulée sous les hurlements de terreur de ses deux amies... et des passants. Des habitants réveillés en sursaut par les hurlements. Certains étaient allés chercher la police, d'autres avaient alertées les religieuses. Un homme avait repêché le coeur glacé d'Helena tandis qu'un autre plongeait pour remontée Constance, dont on ne voyait plus que la chevelure rousse. La grande Berenice et toutes les autres étaient arrivées en pleurant. Mary, la pauvre petite Mary, avait été retrouvée par une femme hystérique qui avait frappée sa poitrine, comme si cela avait put lui redonner le souffle de la vie. Et Rebecca avait alors sentie la main de Sophia lui glisser des mains, et, en tournant la tête, elle avait réalisé que son amie avait la tête sous l'eau depuis bien longtemps, qu'elle était morte. Et une nouvelle vague était venue, et alors elle s'était sentie partie. Du moins elle l'avait espéré. Les policiers avaient pris son corps, l'avait déclarée morte, et on l'avait emmenée à la morgue.

      " Monsieur Ellington. J'ai le terrible regret de vous annoncer la mort par noyade de votre nièce, Mlle Rebecca Ellington, survenue dans la nuit du 14 au 15 avril 1866. Sûrement en aviez-vous déjà pris connaissance dans l'édition matinale du New York Times. Mes sincères condoléances.
      Berenice Adams. "


      Après ma transformation;; " 15 avril 1866. J'ai trouvée une jeune fille en train de mourir de froid dans les locaux du Memorial Hospital et je me suis dit que tu aimerais pouvoir t'amuser avec un nouveau jouet, je l'ai donc transformée. Le temps que la transformation opère, on l'oubliera rapidement. C'est une " rescapée " du naufrage des gamines du pensionnat, je suis sûr qu'elle te plaira. Une enfant illégitime de bonne famille que tout le monde déteste et que personne ne viendra réclamer. "
      " 18 avril 1866. Tu vois, les journaux ne parlent déjà plus de toute cette histoire. Comme je l'avais prévue, je n'ai eut qu'à remplir le cercueil de roches, et la famille de notre belle recrue n'a rien découvert. Elle a un oncle, un bourgeois qui fume des cigares et qui parle fort, il l'a enterrée dans leur mausolée personnel à Manhattan. Au fait, la gamine s'appelle Rebecca. Elle vient de se réveiller et elle a déjà hâte de te rencontrer, elle dit que, si tu es si puissant, tu pourras l'aider à ramener une certaine Sophia. J'ignore de qui il s'agit. Elle divagues. "
      " 20 avril 1866. J'ai appris que les traqueurs sont de retour en ville, et je ne crois pas qu'ils seraient enchantés de savoir que tu as fait l'acquisition du rejeton d'une traînée anglaise. Je te conseille donc de tout lui expliquer et de la lâcher dans la nature. Je ne suis que le serviteur, après tout. Écoute, je sais que je t'ennuies avec ces histoires, mais votre guerre stupide entre clan... "
      " 22 avril 1866. J'ai choisis de garder la fille avec moi. Elle possède un don fabuleux, et les Volturi me paieront certainement très cher si je la leur apporter. Je te conseille une dernière fois de tueur tout tes petits amis et de fuir la ville. S'il te plait. Tu as 500 ans, débarasse-toi des jeunots et exile-toi dans les montagnes comme le font tout les vieux. "
      " 25 avril 1866. Je t'écris cette lettre en sachant que tu ne la liras jamais. Elle finira dans mon journal personnel, comme tout mes futurs écris. J'ai appris ta mort et cele des gamins qui te servaient d'esclaves. Sache que les Volturis ont été prévenus du don de la fille et de la présence gênante des traqueurs. Je les sens déjà, en ville, à fureter dans tout les coins. "
      " 27 avril 1866. Les choses se sont passées bien rapidement. Les traqueurs sont morts, ils sont redevenus poussière, et les Volturis sont repartis. Mais la fille n'est pas avec eux. Ils disent qu'ils ne veulent pas pour le moment d'une nouvelle-née incontrôlable. Mais je sauraui les convaincre de la prendre et de justement me récompenser. "
      " 28 avril 1866. J'ai peur. Je sens comme une menace. Mais je ne sais pas du tout où elle vient, je ne sais pas de qui me méfier, de qui avoir peur. Tu disais souvent que mon instinct ne trompait pas, et c'est justement vers cette foi inébranlable que tu avais en lui que je me tourne aujourd'hui. J'ai peur, et je compte bien utiliser le pouvoir de ma nouvelle amie pour me protéger. "
      " 30 avril 1866. Mon Dieu. Ce matin encore je l'ai sentie. Je n'ai pas put bouger, j'étais complètement immobile, et elle dardait son regard de fureur sur moi. Elle m'en veut. Mon Dieu. Je ne peux rien faire contre une nouvelle-née si ce n'est prendre la fuite et ne plus revenir, comme je te l'avais jadis conseillé. Je la sens qui vient, qui arr... "


      Quand elle était tombée sur ce journal, quelques jorus seulement après sa trasnformation, rebecca avait eut comme instinct premier de le détruire pour que jamais personne ne puisse avoir connaissance de son histoire à elle, de sa vie d'avant et d'après. Après avoir tué son créateur selon la méthode qu'il lui avait enseigné, ce pauvre fou, elle l'avait donc rangé soigneusement dans ce grand appartement de ville qu'elle considérait maintenant comme son chez-elle. Son créateur l'avait prévenue qu'elle risquait de ressentir une certaine nostalgie vis-à-vis de sa vie d'avant, mais il n'en avait rien été. Elle était restée de marbre face au récit qu'il lui avait fait racontant les moeurs de son oncle. Il l'avait emmenée voir sa tombe et elle n'avait même pas eut mal. Elle n'était plus la même personne. Elle était une personne qui bois du sang, qui tut des gens, vole de belles toilettes dans les boutiques et agit en putain. Elle attirait les hommes de son choix dans ses filets et les tuait. La vie était faites de ces petits bonheurs. Seule, riche, puissante et belle. La vie était douce et merveilleuse. Parfois, elle croisait d'autres vampires. Ellese fit ainsi quelques amis, dans d'autres clans. Elle ne revit jamais ces Volturi, et c'était tant mieux. Au bout de 10 ans, elle déménagea à l'autre bout de la ville dans une maison tout ausi luxueuse. Et au bout de 10 ans encore, et 10 ans encore, et à nouveau 10 ans... New York était devenue sa ville à elle, et à personne d'autre. Elle était un clan à part entière, et elle tuait tout les nouveaux-nés stupides qui avaient le malheur de venir faire un tour trop près de son terrain de chasse. Parfois, elle se rendait `
      à l'immense mausolée qu'avait installé les familles de Sophia, Constance et toutes les autres. Elle en nettoyait la pierre, la rendait brillante comme du cristal. Elle délogeait les saletés qui s'étaient logées dans les gravures de leurs noms. Elle arrangeait la pelouse, arrachait les mauvaises herbes et posaient des fleurs fraîches devant la pierre tombale. Elle avait appris qu'il ne restait plus rien de ces familels déshonorrées. Mortes, dispersées ou sans héritiers. Plus personne pour venir pleurer sur ces tombes. Parfois, les gardins du cimetière s'étonnaient de voir une tombe vieille de près de 30, 50, 100 ans recevoir tant d'attention. Parfois non. Elle, Rebecca, et elle, la tobme, faisaient partie du décor depuis trop longtemps.
      Le seul efnant survivant de son oncle eut une fille, une adorable enfant, aux alentours de 1980, sur le tard. Elle même eut un enfant en 1921. Un fils interessant, captivant même, que Rebecca aurait sans doute transformé si elel n'avait pas eut tant envie de lui laisser son petit bonheur personnel. Il se maria et eut lui même un fils aux alentours de 1955. Et ce même fils fonda un emprie commerciel de plusieurs millions de dollars. Et le 11 septembre 2001, il donnait justement une conférence de presse au World Trade Center. Et c'est ainsi que s'acheva la lignée des Ellington, purement et simplement, aussi nettement que s'était achevée la vie tumultueuse de Rebecca. Quand elle comprit, ce matin-là, que son arrrière-arrière petit cousin venait de mourir, laissant sa famille vide et oubliée, Rebecca avait hurler. Hurler en pleine rue, et les passants avaient crut que, comme tant d'autres, al vision de tours enflammées l'avait rendue folle. Elle était restée dans l'ombre pour ne pas rendre ces gens encore plus fous. Et elle avait passée les années suivantes à voyager. Elle avait passée quelques années en Europe, et son chemin l'avait conduite à Volterra, où elle n'était cependant restée qu'une fraction de secondes. Et puis elle était venue à Forks, une ville de vamprie, visiblement. Elle, toujours seule, toujorus solitaire, avait cependant une grandiose collection d'amis et de connaissances.
      Et c'est ainsi que s'achevais le périple grandiloquent de l'enfant illégitime de ce soldat aventureux et cette bourgeoise sans peurs et sans repproches.

      Mes peurs;; Rebecca a toujours eut un peu peur des vampires qu'elle ne connaissait pas. Bien sûr, elle possédais une arme capable de les remettre à leur place bien comme il faut, ou plutôt de les empêcher de la quitter. Seulement, ces vampires, unis, forts... Elle en avait peur. Ils étaient ce qu'elle n'avait jamais put posséder, des gens qui formaient une famille. Elle avait même peur des Cullen, les vampires végétariens, si gentils et si unis. C'est pourtant vers eux qu'elle se tourna, à la totue dernière minute, quand les choses commencèrent à vraiment mal aller pour elle comme pour eux.
      Mes envies;; Parfois, Rebecca aimerait bien que les Volturi se mêlent vraiment de toute cette historie. Qu,il tut tout les loups, tout les vampires, toutes les sorcières. Ce serait une manière bien adéquate de conclure sa vie décousue en beauté. D'autres fois, elle aimaerait pouvoir devenir quelqu'un d'autre, quelqu'un qui aurait une réelle importance aux yeux du monde.



Dernière édition par Rebecca G. Ellington le Dim 3 Jan - 0:19, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "   Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Icon_minitimeSam 2 Jan - 23:14

Hey !!!! Chui la preums euh ! Chui la preums euh !!

Bon bref ! BONNE ANNEE ! Et bienvenue chez les ... FOUS !
Oui c'est bon j'ai compris je me calme Wink

Tsais quoi ... ta fiche est géniale ! j'adore Smile
Moi je dois finir la mienne *flemme flemme*

J'espère qu'on s'entendra bien malgré ta ... race !

Bises ensorcelées !
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Rebecca G. Ellington

Rebecca G. Ellington

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MessageSujet: Re: Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "   Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Icon_minitimeDim 3 Jan - 0:23

Merci =)
Ouais... pour ta race... xD

M'fin bref, message de première importance aux nadminz' : Je vérifie une dernière mes tites fautes et je pense que c'est bon ^^
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Lenalee G. Penderwell

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MessageSujet: Re: Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "   Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Icon_minitimeDim 3 Jan - 0:36

A ce propos je vais de ca pas finir ma fiche j'ai envie de RP ^^
Si tu veux je RP avec toi ce sera marrant (niarf niarf).
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Abygaël Albarn
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MessageSujet: Re: Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "   Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Icon_minitimeDim 3 Jan - 12:31

Bonjour Rebecca !
Ta fiche est parfaite, rien à redire <3 Je te valide tout de suite ^^
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MessageSujet: Re: Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... "   Rebecca Gabrielle Ellington - " Ou la petite dernière... " Icon_minitime

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